Jour J: dimanche 5mars

Tout est prêt pour le départ.

Pas de tempête comme en 2020, pas de mouvement de grève avant mardi,

taxi à l'heure, TGV également.

Partis à 8h30 de la maison, TGV à 9h, arrivée à Roissy à 12h01 (merci Christian Poncelet!).

Notre vol avec la Lufthansa est annoncé à l'heure: décollage à 18h50. On a pu prendre notre temps. Pas de stress. Ça sera un peu plus tendu à Francfort: 1h50 d'escale et encore plus à Singapour où après 12h de vol nous n'aurons qu'1h40 avant le décollage du vol Air New Zealand. Mais comme dit Bernard, "ça devrait faire!"


Lundi 6 et mardi 7 mars:

Et "ça a fait". Tout s'est bien passé pendant le voyage. Pas de temps perdu aux escales, mais pas de stress non plus. On a bien pu dormir entre Francfort et Singapour car on avait 3 sièges pour nous deux. Entre Singapour et Auckland, notre voisin était bien sympa et pas embêtant du tout.

Arrivée à l'heure à Auckland: 9h35, 37 heures après notre départ de la maison.

Longue queue à l'immigration, car les Néozélandais sont très pointilleux sur ce qui peut entrer sur leurs îles. Nous avions déclaré que nous avions des chaussures et bâtons de marche et il vérifient que le matériel est propre et qu'il ne reste aucun grain de terre dans les rainures des semelles. Nos chaussures avaient été lavées, frottées, brossées... nickel! Ils nous ont crus sur parole, ce qui n'avait pas été le cas en 2020 où il avait fallu sortir les chaussures du fond du sac à dos... et où il avait été très difficile ensuite de les rentrer.

Pour aller à l'hôtel, nous avons été pris en charge par un VTC. Très sympa lui aussi, il a fait un détour pour nous emmener à un distributeur de billets et ensuite nous a fait parvenir des bons plans pour les activités à faire dans l'île du Nord. Ancien joueur de rugby en ligue 2, il est venu jouer à Lyon par le passé. Marié à une tahitienne, il parle un peu Français. C'est lui qui viendra nous chercher à l'hôtel samedi matin.